Témoignage : Roméo de Pascalis - Conseiller Rivalis (Rhône) donne son avis
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Témoignage : Roméo de Pascalis - Conseiller Rivalis (Rhône) donne son avis

Dernière mise à jour : 21 août 2019


« Ma motivation au quotidien ? Aider les patrons. »


Pendant près de 20 ans, Romeo a œuvré au sein de filiales de grandes banques françaises, au Département des Services Financiers Spécialisés.

C’est en 2015 que son souhait de longue date de se lancer à titre individuel se concrétise, lorsqu’il rejoint le réseau pour devenir Conseiller Rivalis, « un beau métier qui lui permet de rencontrer tous les jours des hommes et des femmes formidables, qui œuvrent, chacun à leur niveau, pour que la France avance ! ».


Depuis, Roméo a eu l’opportunité de suivre plusieurs clients, dont Mme ROBERT, gérante d’une auto- école à Lyon 3, ainsi que Mme NIVOLLET et M. MUGLIA, fromagers à Saint-Priest (69). Tous deux ont pu bénéficier entre autres de la formation à l’outil Rivalis, d’un travail important sur les marges, mais aussi d’un accompagnement sur la rédaction du Document Unique. Leur chiffre d’affaire respectif a considérablement augmenté puisqu’il est passé de 102 000 € à 143 000 € pour Mme ROBERT, de 299 432 € à 360 000 € pour la Fromagerie du Village.


Voici la transcription intégrale de l'interview


Avant d'être conseiller Rivalis, j'ai travaillé pendant près de 20 ans au sein de filiales de grands groupes français, spécialisés dans le financement.

Depuis très longtemps, je souhaitais me lancer à titre individuel et le fait d'accompagner les

entrepreneurs dans le pilotage de leur entreprise m'a séduit. La motivation au quotidien c'est

de rencontrer des patrons comme moi qui ont, pour certains, besoin d'aide et besoin de se développer, c'est pour moi un plaisir d'échanger avec eux.

J'ai été repéré par Rivalis sur le site toutelafranchise.com sur lequel j'avais laissé mon CV.

Ensuite les entretiens de sélection se sont enchaînés

avec Rivalis et enfin tout l'accompagnement qui m'a amené jusqu'à la formation et

au démarrage de mon activité.

La journée de présélection à Colmar m'a permis d'avoir une

bonne vision sur le métier de Conseiller Rivalis, de me donner des perspectives sur ce que serait mon nouveau métier et le développement que je pouvais avoir à ce sujet.

La difficulté du métier de conseiller Rivalis, c'est de se mettre dans la peau du patron et se dire que ça y est, moi aussi je le suis et le fait d'aller à la rencontre d'autres patrons me fait,

au quotidien, devenir moi-même mon propre patron.

Être dans le réseau Rivalis me permet d'avoir un support, notamment en tête de réseau sur

toutes les questions sur lesquelles je ne suis pas capable de répondre moi-même mais aussi

surtout de pouvoir m'appuyer sur d'autres collègues qui font le même métier, qui disposent de

compétences dont je ne dispose pas et sur lesquels je peux aussi me reposer pour obtenir des

réponses pour les clients ».

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